Sécurisation des communications
L’avènement d’Internet et des nouvelles technologies a révolutionné notre façon de communiquer. Plus disponibles, plus facilement joignables, nous sommes également plus vulnérables aux attaques extérieures.
L’avènement d’Internet et des nouvelles technologies a révolutionné notre façon de communiquer. Plus disponibles, plus facilement joignables, nous sommes également plus vulnérables aux attaques extérieures.
Les moyens de cryptologies actuels sont conçus pour transformer des données, qu’il s’agisse d’informations ou de signaux. Ces derniers ont pour mission de garantir la sécurité du stockage ou de la transmission de données, en permettant d’assurer leur confidentialité, leur authentification ou le contrôle de leur intégrité.
PC EQUIPMENT propose une large gamme de brouilleurs de téléphones mobiles (GSM/DCS). Nos produits protègent un environnement précis en le mettant hors d’atteinte d’émetteurs ou réémetteurs espions.
Nous souhaitons toutefois attirer votre attention sur les dispositifs légaux encadrant l’utilisation de ce type de produits. Ainsi, l’article L. 33-3-1 du CPCE met fin à la possibilité d’installer des dispositifs de brouillage dans les salles de spectacle et pose, le principe de l’interdiction de « l’importation, la publicité, la cession à titre gratuit ou onéreux, la mise en circulation, l’installation, la détention et l’utilisation de tout dispositif destiné à rendre inopérants des appareils de communications électroniques de tous types, tant pour l’émission que pour la réception ».
Les seules dérogations concernent les besoins de l’ordre public, de la défense et de la sécurité nationale, ou du service public de la justice (notamment dans les établissements pénitentiaires).
S’agissant des dispositifs de brouillage, autorisés sous l’ancienne législation, dans les salles de spectacle, l’ordonnance du 24 août 2011 prévoit, à son article 57, que ces installations restent autorisées pendant un délai de cinq ans (soit jusqu’au 26 août 2016). Pendant ce délai, l’utilisation de ces installations reste soumise aux conditions définies par la décision n° 03-704 de l’ARCEP du 12 juin 2003.